« La vie en soi, pour elle-même, n'est pas sacrée : il faudra bien s'habituer à cette terrible nudité métaphysique. » (Jorge Semprun).

Loin d’être une tragédie de la vie, la solitude est un renoncement à l’autre, un moment, pour faire face à soi-même. En être témoin peut être le privilège du photographe, qui s’efface alors.
Photographier la solitude
Le paradoxe du nu et son masque
La nudité semble dévoiler mais elle est pourtant un moment intime qui cache derrière le masque la réalité de l’être.
Point de privilège pour le photographe, invité à voir, à figer, des moments que nul ne saurait voir. Il est transparent et doit rester ce fantôme pour la maison d’hôte. Le naturel l’emporte ainsi.
Le photographe et l’intimité




